Charles d'Allonville, dit
Charlot est né en
1400 dans la
Beauce et mort au printemps
1479. Il gist en l'église de
Poinville.
Charles d'Allonville est écuyer, seigneur d'Allonville, de Chamblay, d'Ésclimont (à Saint-Symphorien-le-Château), de Moreaulieu, de La Ronce, du Plessis-Saint-Benoist, du Bréau et de Basmeville, et de la Prevosté, mais également seigneur d'Oysonville du fait de sa première femme, Marguerite de Crosnes. Il occupe les fonctions d'écuyer des écuries du Roy, puis de Maître d'hôtel et Grand Panetier de la Maison du roi. Par la suite Charles d'Allonville est gouverneur de Monthléry, Grand chambellan de France, capitaine de 100 lances.
Biographie
Sa famille
Charles d'Allonville est un membre de la
Famille d'Allonville qui est citée dès
1129. Voici sa descendance :
Charles d'Allonville (1400-1479)
x Bertrande de Richebourg d’Oysonville (1440-1528)
| | --> Symon d'Allonville d'
Oysonville (
1458-
1533)
x Étiennette d’Autry (1460-1493)
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| --> François d'Allonville d'Oysonville (1486-1536)
x Louise de Buz (1510-)
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| --> Antoine d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist (1538-1598)
| x Jacqueline de L’Isle
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| | --> Sous-branche des d'Allonville du Plessis-Saint-Benoist.
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| --> François II d'Allonville d'Oysonville (1529-1615)
x Jehanne du Monceau (1540-1560)
x Jeanne de Billy (1544-1605)
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| --> Jacques d'Allonville d'Oysonville (1568-1630)
x Anne David
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| --> Edmé d'Allonville d'Arnancourt (1592-1664)
x Antoinette de Hérisson du Vigneux
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| --> François III d'Allonville d'Arnancourt (1653-1694)
x Madeleine de Masseron d’Amboise
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| --> Edmé II d'Allonville (1694-1783)
x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)
Edmé II d'Allonville (1694-1783)
x Antoinette Sauvage du Chatelier (1713- 1793)
| | --> Armand Jean d'Allonville (
1732-
1811) | x Marie Françoise Jehannot de Bartillat (
1744-
1817) | | | | --> Armand François d'Allonville (
1764-
1832) | | x 1) Charlotte Le Vavasseur (
1769-
1799) | | | | | | --> Marie-Louise d’Allonville] (
1794-
1877) | | | x Alexandre Louis d’Allonville (
1774-
1852) | | | | | x 2) Céleste Octavie de Munnich (
1785-
1851) | | | | | | --> Pierre d’Allonville (
1821-
1877) | | x Valérie de Lauzières-Thémines | | | | | | --> Emmanuel Armand d'Allonville (
15 mai 1841-
1912) | | | | --> Alexandre Louis d’Allonville (
1774-
1852) | | | | --> Antoine Jean Baptiste d'Allonville (
1765-
1811) | | x Céleste Octavie de La Bourdonnaie-Liré (
1790-
1851) | | | | | | --> Armand-Octave-Marie d’Allonville (
1809-
1867) | | | | --> Louis d'Allonville (
1771-
1814) | |--> Antoine Charles Augustin d'Allonville (
1735-
1792) | |--> Jean Nicolas d'Allonville (
1735-
1792)
Du temps de sa première femme, Marguerite de Crosnes
Charles d'Allonville est seigneur d'Oysonville du fait de sa première femme, Marguerite de Crosnes (1410-1453), petite-fille d'Adam de Escrones, seigneur du lieu, en 1386.
Par partages, sous seing privé du 19 juillet 1451, faits avec Pierre de Dallonville, leur cousin germain, des biens de la succession de leurs pères restés indivisis, il échoit à Charles et son frère Nicolas, l'hôtel et les appartements de Dallonville, les cens, rentes et champarts de Marchezais, Marolles et des Orgereux, près d'Houdan.
La Guerre de Cent Ans, où il a été l'un des capitaines, se termine en 1453. Sa 1re femme, Marguerite de Crosnes, meurt cette année là.
Du temps de sa sa seconde épouse, Bertranne de Richebourg
Charles d'Allonville se remarie en 1454. Bertranne de Richebourg d'Orval (
1440-
1528) est la fille de Jean de Richebourg, capitaine de cinquante hommes d'armes et Marguerite d'Escrones. Bertranne (
1440-
6 février 1508) est dame d'
Oysonville, mais aussi d'un fief au
Tremblay, près Montfort, terres qui avaient appartenu à la famille d'Éscrones.
Les seigneurs de Richebourg faisaient hommage au comte de Montfort pour leurs deux châteaux de Richebourg et de la forêt de Civry, dont la prévôté s'étendait sur neuf paroisses de la châtellenie de Houdan. Hors du comté, ils avaient des biens près de Dreux, quatre fiefs de chevalier dans la châtellenie de Nogent-le-Roi, et vingt-sept fiefs dans celle de Mantes, tant en deçà qu'au delà de la Seine.
Le 13 août 1454, avec Bertranne de Richebourg, sa seconde épouse, Charles d'Allonville achète à Jehan et Hutin de l'Étendard, ses cousins, le tiers du fief noble du Plessis-Saint-Benoist, avec les fruits de Bretonville, Ansonville, Bois-Saint-Martin et Éclimont, naguère à leur tante Marguerite de Trye du Boullay-Thierry et dont avait hérité leur oncle Jehan d'Escrones, seigneur de Châtillon-le-Roi.
Dès 1457, employé au chapitre des dons et récompenses faites par le roi Charles VII. (Clairambault). Le 29 août 1461, Charles, homme d'armes sous Monseigneur le comte de Dunois et de Longueville, Jean de Dunois, a la charge et la conduite de cent lances.
Après la bataille de Montlhéry, le 16 juillet 1465, Louis XI et la Cour séjournent au château de Charles d'Allonville à Louville-la-Chenard .
Charles d'Allonville, écuyer, sieur d'Oysonville, présente l'hommage de La Roue en 1466 et paie le droit de relief pour sa mouvance de la chatellenie de Montlhéry. Sept ans après, un cueilloir du déluge mentionne des terres tenant au seigneur de la Roé, Charlot Dallonville.
Le 23 avril 1469, par partages avec Guillaume de Languedoue et sa femme, passés par devant Michel Prévost, tabellion à Chartres, Charles et Bertranne reçoivent, pour la part de celle-ci en la succession de Marguerite d'Escrosnes, sa mère : l'hôtel et appartenances de La Rie et Chevanoille, près de Montlhéry ; l'hôtel de Bretonville, les terres de Bretencourt, l'hôtel du Plessis-Saint-Benoist tenu de l'abbé de Saint-Benoist, la terre de Maruel, Tremblay et Cognet, tenue du seigneur de Chevreuse ; la terre de Basmeville près de Châtenay, et les trois parts de la terre d'Éclimont, tenue en fief du seigneur de Bleury, à cause de sa femme.
Charles d'Allonville est seigneur d'Arnancourt dès 1471. Ce fief va rester dans la famille jusqu'en 1668 et certains d'Allonville seront dit d'Arnancout.
Le 20 avril 1474, sentence du bailli de Chartres contre Philippe de Trie, au profit de Charles d'Allonville et de Guillaume de Languedoue, acquéreurs de Jehan d'Escrones, fils de Guyot, et de Guillaume de l'Étendart, fils de Jeanne d'Escrones, de leur moitié de la terre d'Éclimont, l'autre moitié leur appartenant à cause de leurs femmes, filles de Marguerite d'Escrones.
La conduite de cent lances (1474)
Par lettres du 8 décembre 1474 données à Château-Thierry, le roi confie à Charles, son conseiller et chambellan, la conduite de cent lances nouvellement levées, outre le nombre ordinaire, aux gages de 20 sols par mois pour chaque Lance fournie
Extrait du brevet de 100 lances fournies ou de cent hommes d'armes, donné par le roi Louis XI, à Charlot (Charles) d'Allonville, seigneur d'Oysonville, son chambellan :
Louis, etc., savoir faisons, que, pour la bonne et grande conffiance, que nous avons de notre amé et féal conseiller et chambellan Charlot d'Allonville, de son sens, vaillance, bonne conduicte et grande diligence, icelluy avons rettenu et rettenons, par ces présentes, pour nous servyr désormais au nombre et à la conduicte de cent lances fournies de nostre ordonnance, de celles, qui ont été, naguères, par nous mises, outre le nombre de nos lances ordinaires... Cy donnons mandement à nos amés et féaux les maréchaux de France, que le dict d'Oysonville, dont nous avons reçu le serment en ce cas accoutumé, ils facent souffrir, jouir et user paisiblement de notre présente rettenue, et à luy obéir et entendre de tous ceux et ainsi qu'il appartiendra, etc. Donné à Paris le dix neurviéme jour de janvier l'an de grace quatorze cent soixante et quatorze, et de notre règne le quatorzième. Par le roy. Auvillot.
Sentence du bailli de Chartres touchant la terre et seigneurie d'Eclimont
1474 - Sentence du bailli de Chartres touchant la terre et seigneurie d'Eclimont : Sentence donnée par Michel Michon, licencié en loix, lieutenant particulier de noble homme Guillaume de Coursillon, chevalier, seigneur de Montléan, conseiller et chambellan du Roy, bailly et capitaine de Chartres, comissaire à ce député le mercredy 20 apvril 1474, signée le Gendre, pour raison du procès mû aud. baillage entre Guillaume de Languedoue, Charles d'Allonville, escuyers, et demoiselles Bertranne et Michelle, leurs femmes, demandeurs, d'une part, et messire Philippes de Trie, chevalier, défendeur, d'autre, contenant que le samedy 21 febvrier 1466, iceux demandeurs auroyent obtenu lettres royaulx signifiées au lieu de Boissi près Meaux, domicile dudict deffendeur, à ce qu'il eust à se départir de la jouissance de la terre et seigneurie d'Eclimont, size aud. baillage, près Gallardon, en la paroisse de Saint-Symphorien, et que pour cet effect, il eust à comparoir au jour proche de la Quasimodo, par devant le bailli de Chartres, prédécesseur dudict bailli, auquel jour 6 avril 1467, les susdicts fussent comparuz par devant M. Michel Grenet, lieutenant général de noble homme feu
Jehan de Rochechouart, lors bailli et capitaine de Chartres, lors prédécesseur, où le deffendeur auroit demandé vente lui être faite, et le vendredy 24 juillet, ayant encores comparu par devant led. Grenet, auroyt esté de la part des demandeurs allégué qu'à feu Guérin d'Escrosnes, escuyer, appartenoyt le fief, lieu et seigneurie du dict Esclimont juxte Jehan de la Rosière, escuyer, seigneur dudict lieu avec tous les cens et héritages qui en dépendent, que le susdit Guérin d'Escrosnes seroyt décédé et auroyt laissé deux enfants, messire Regnault d'Escrosnes, chevalier, et Ameline, mariée au seigneur de Blaru, lesquels se seroient déclarés héritiers de luy ; quedudict messire Regnault estoient issus messire Adam des Crosnes, Guyot d'Escrosnes et Jehanne d'Escrosnes, nepveux et niepce de la dite Ameline, et que du dict messire Adam d'Escrosnes estoient issus messire Adam et Pierre d'Escrosnes, chevaliers, et dame Marguerite d'Escrosnes, et du dict Guyot d'Escrosnes estoyt issu Jehan d'Escrosnes, escuyer, sr de Boyneville, seul et unique héritier de son dict père ; et de la dicte Jehanne, fille du susdit messire Regnault estoit issu Guillaume de l'Estandart, son fils, et que tous les enfans des susditz messire Adam d'Escrosnes laisné, Guyot d'Escrosnes et Jehanne d'Escrosnes estoient cousins germains et nepveux en deux degrés et descenduz de la susdicte Ameline, à laquelle lors de son mariage ledict Guérin, son père, auroyt baillé les héritages cy-dessus mentionnés, que de icelle Ameline estoit issu une fille nommée Jehanne, mariée à messire Mathieu de Trie, que des dicts Mathieu de Trie et Jehanne étoient issuz messire Regnault de Trie, Jehan de Trie et Marguerite de Trie, dame du Boullay, laquelle auroyt succession de ses dicts frères et leur auroyt succédé audict Esclimont, et depuis estant décédée sans enfants, luy auroyt succédé chaqu'un pour sa 4e portion, messire Adam des Crosnes le jeune, et messire Pierre des Crosnes, enfans dudict messire Adam des Crosnes laisné, fils dudit messire Regnault, frère de la dicte Ameline, ayeulle de ladicte dame du Boulay, sans que la dicte Marguerite y succédast, pour ce que les dits héritages estoient tenus en
fief et terre unique en ligne collatérale, en laquelle les filles ne pouvoyent avoir rien, y ayant masies, ainsy qu'il est gardé par la coutume du pays chartrain, et que depuis iceux Adam et Pierre des Crosnes estans décédés sans enfans, Marguerite leur seur leur auroyt succédé en la moitié du dict Esclimont, et qu'aussi auroyent succédé en chaque une part de l'aultre moitié Jehan des Crosnes, fils Guyot d'Escrosnes, et Guillaume de l'Estendart, fils de la dicte Jehanne, fille dudict messire Regnault d'Escrosnes et soeurs desdicts messire Adam et Guyot des Crosnes, cousins et héritiers en pareil degré de ladicte dame du Boulay, lesquels auroyent vendu au susdictz Charles d'Allonville et Guillaume de Languedoue leur part et portion en la terre et seigneurie dudict Esclimont, de sorte qu'ils auroyent droit à cause de ce en la moitié d'icelle et pour l'aultre moitié elle leur appartenoyt à cause de leurs femmes, comme filles et héritières de la susdite Marguerite d'Escrosnes, leur mère et qu'ils en auroyent faict la foy à Jehan de Rogueres (?), seigneur féodal dudict Esclimont ; qu'en apvril 1455, ledit Charles d'Allonville auroyt faict bastir la grange et dépendances continu les bastiments dudict Esclimont ; et de la part du deffendeur auroit esté soutenu au contraire qu'il estoit petit nepveu en ligne collatérale de ladite dame du Boulay, d'aultant que ledict messire Jacques de Trie et elle estoient frère et soeur issus de messire Loys de Trie leur père, et que dudict messire Jacques de Trie et de dame Catherine sa femme estoit issu ledict messire Philippe de Trie, leur fils, et pour lors deffendeur, et que ladicte dame du Boulay, par son déceds, auroyt délaissé le susdict massire Jacques de Trie son frère pour son seul et unique héritier, et que par arrest ledict Philippe auroyt esté maintenu en la possession et jouissance de toute la succession de la dicte dame du Boulay ; et contenant, ledict Grenet, après avoir ouy les dictes parties, les auroict appointées à coutume, et contenant, depuis leurs requestes auroient esté mises par devant honorable homme et saige messire Jehan Bauldry, licencié en loix, lieutenant général dudict seigneur bailly, lequel dès le 30 août 1470 leur auroyt assigné jour pour avoyr droict, et comme le vendredy 2 aoust 1471 lesdicts demandeurs auroyent présenté audict licencié lettres royaulx, par lesquels est mandé les recepvoir à pouvoir poser, articuler et prouver la coutume du pays chartrain estre que les héritages propres appartiennent et eschoient par succession aux plus prochains héritiers du defunct ou defuncte du costé et ligne où lesdits héritages estoient tenuz et descenduz, et par la susdite sentence, après enqueste faicte sur la dicte coustume, et veu plusieurs partages et actes, le deffendeur est condampné à laisser aux demandeurs libre la possession et jouissance du fief, lieu et terre dudict Esclimont et dépendances d'iceluy.
Chambellan du roi Louis XI (1475)
Chambellan du roi Louis XI, le 19 janvier 1475, il rend hommage de la seigneurie de Roé-en-Linois, sous Montlhéry, le dernier février 1465, il donne quittance de 50 francs, le 9 mai 1476, et, par le sceau qui y est attaché, il parait qu'il porte les armes pleines de sa maison.
Louis XI lui écrit le 19 janvier 1475, en rappelant ses titres de maître d'hôtel, de chambellan et de conseiller.
Article détaillé : .
Le 23 décembre 1476, Guillaume de Languedoue et sa femme vendent à Charles et son épouse la quatrième part de la terre d'Éclimont.
1478, Charles d'Allonville et Bertranne de Richebourg, sa femme, vendent La Roue à Amanyon de Garlande et avec le droit de nomination à l'une des chapelles de la seigneurie. Comme c'est la coutume Amanyon présente ses foy et hommage au roy, pour les fiefs de la Roue et Chenanville.
On retrouve Charles comme gouverneur de Montlhéry et de Meulan, en 1479.
Charles d'Allonville se distingue particulièrement dans le sillage de Louis XI, dont il est le principal agent en pays chartrain et au delà.
Après sa mort en août 1479
Le 1er juin 1479, Bertranne de Richebourg, veuve, et Jehan, son fils aîné, reçoivent en foi Guillaume de Facheu, bourgeois d'Orléans, pour ce qu'il tient de leur fief et domaine de Berou. Sa veuve vend Le Tremblay à Nicolas de Chevreuse en août 1479. Le 16 avril 1480, chez Maître Basduet, notaire à Chartres, elle est citée dans un acte pour achat de fiefs avec Philippot Le Mareschal. Elle transige avec son fils aîné, le 17 mars 1500. Bertranne de Richebourg meurt le 26 février 1528.
- Jehan d'Allonville d'Oysonville (1455-1500), écuyer d'écurie du roi est seigneur d'Oysonville de 1479 à sa mort en 1494. seigneur d'Oysonville. Il est mentionné dans les comptes de Jehan Le Gendre, trésorier des guerres, comme commissaire de Mrs les Maréchaux sous Mr l'Amiral, du 1er janvier 1483 à décembre 1485. Est fait en 1493 Grand chambellan de France de Charles VIII.
- Marie d'Allonville (1456-1520), mariée en premières noces à Pierre de Prunelé (1450-1508), sieur de Richarville, maître d'Hôtel, grand Prévôt, capitaine de La Porte, et en deuxièmes noces, après 1508, à Jean d'Auquoy, seigneur de Fay-aux-Loges.
- Antoine d'Allonville (1462-1508), seigneur d'Esclimont, mariée à Louise de Chauvigny.
- Jehanne d'Allonville (1464-1498) dame d'Oysonville se marie en 1475 avec Gilles de Bretheau, seigneur de Brainville, puis en 1488 avec Berthault Le Besgue, seigneur de Heurtebize (Alluyes) et en 1508, capitaine d'Alluyes.
- Marie d'Allonville mariée à Robinet de Naucelles, alias Nacelles, seigneur du Gault et d'Outreville, seigneur de Guault et de Lestreville.
- Marguerite d'Allonville a épousé Jehan de la Vallée. Jehan est seigneur de Gueurville (Chalo-Saint-Mard) et de Sainte-Escobille, en 1508.
- Bertranne d'Allonville mariée à Armagnon de Garlande, seigneur d'Argeville.
Notes et références de l'article
Bibliographie
Articles connexes
Liens et documents externes